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06 80 42 16 38

rene.dosiere@wanadoo.fr 

 

16 juin 2009 2 16 /06 /juin /2009 11:27


Le 16 juin 2009, René DOSIERE
a présenté son analyse du BUDGET DE L'ELYSEE 2008
à l'occasion d'une conférence de presse organisée à l'Assemblée Nationale.



Téléchargez dès à présent l'intégralité du dossier de presse réalisé par
René DOSIERE sur ce sujet et consultez la revue de presse en bas de cette page.

 

Pour accéder à ces documents et les télécharger, cliquez sur les liens suivants:

La synthèse
SYNTHESE.doc

Le tableau de la synthèse
TABLEAU--pj-synthese.doc 

L'évolution du budget 2008
EVOLUTION-2008.bmp 

L'analyse
ANALYSES.doc

Mes 10 propositions pour assurer la transparence du budget de la Présidence de la République 
10-PROPOSITIONS-BUDGET-DE-LA-PRESIDENCE.doc

annexe 1: les fonctionnaires affectés à l'Elysée au 01/01/2008
Les-fonctionnaires-affect-s---l-elysee-annexe1.doc 

annexe 2: les déplacements coûteux du Président de la République
les-deplacements-couteux-du-Pdt-annexe2.doc 

annexe 3: le financement des dépenses personnelles
 Le-financement-des-d-penses-personnelles-juin-2009-annexe-3.doc

annexe 4: une consolidation incomplète
Une-consolidation-2009-annexe-4.doc  

annexe 5: une source d'économies: diminuer le patrimoine immobilier
de la Présidence ?

 annexe 5
Le-patrimoine-immobilier-de-la-Pr-sidence-annexe-5.doc 
 
annexe 5 bis
Les-r-sidences-affect-es---la-Pr-sidence--annexe-5bis.doc 
 
annexe 5 ter
Quelles--conomies-annexe-5ter.doc 

Vous pouvez également télécharger des photos pour illustrer vos articles :

DosiereR060922_05.jpg 
 

f-vrier-2007-129.jpg 

RENE-DOSIERE_0009.jpg 

f-vrier-2007-002.jpg    

Vous pouvez consulter la revue de presse, non exhaustive, sur les liens suivants:

http://www.dailymotion.com/video/x9m958_rene-dosiere-depute-src-critique-lo_news



http://www.rue89.com/2009/06/16/budget-de-lelysee-en-hausse-de-185-on-dissimule-la-realite
 



http://www.lepost.fr/recherche/resultat.html?tri=date&query=dosiere&x=17&y=5


Afficher l'image en taille réelle

       

http://www.lefigaro.fr/politique/2009/06/16/01002-20090616ARTFIG00517-budget-de-l-elysee-dosiere-denonce-des-manipulations-.php


LeMonde.fr
http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/06/16/les-depenses-de-fonctionnement-de-l-elysee-ont-augmente-de-21-7-en-2008_1207257_823448.html






 






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Published by René Dosière
24 mars 2007 6 24 /03 /mars /2007 19:45
 
Enfant de l’Aisne

école communale d'Origny Sainte Benoîte
école communale d'origny Sainte Benoîte

Je suis né le 3 août 1941 à Origny Sainte Benoîte, dans l’Aisne, où mon père était instituteur puis directeur de l’école communale.
 
Je suis le second d’une famille de quatre garçons. J’effectue ma scolarité comme interne au lycée Henri Martin de Saint Quentin où je réussis mon baccalauréat de philosophie.
Je m’inscris ensuite à la Sorbonne (devenue l’Université de Paris 1) ou j’obtiens une licence d’histoire et de géographie et un diplôme d’étude supérieur de géographie avec un mémoire consacré à « la vie rurale dans le canton de Ribemont ».
 

Marié, père de trois enfants, Eric, et grand père de 8 petits-enfants. J'habite Laon depuis 1970.


 

 
Militant de longue date

J’entre en politique par la voie associative et l’éducation populaire. Ce que l’on appelle volontiers aujourd’hui la Société civile.
Adolescent, je préside le Ciné Club des Jeunes de Saint Quentin dont j’anime les discussions. Je milite à la JEC (Jeunesse étudiante chrétienne) dont je deviens secrétaire départemental de l’Aisne en 1959, puis membre du secrétariat national de 1960 à 1964.
De retour dans l’Aisne après un service national accompli au Québec, je milite à la Fédération des Conseils de Parents d’Elèves (FCPE) dont je deviens secrétaire départemental de 1979 à 1980.

 

Le ciné-club des Jeunes de St Quentinciné-club

En 1980, je suis élu président de la Fédération Départementale des Maisons des Jeunes et de la Culture (FDJC). A partir de 1975, je participe aussi aux travaux de l’Association pour la Démocratie et l’Education Locale et Sociale (ADELS) fondée en 1965 par Michel Rocard. J’anime parallèlement à Laon un Groupe d’Action Municipale (GAM) qui regroupe des personnalités engagées dans la vie municipale. De 1976 à 1979, je siège comme assesseur bénévole au tribunal pour enfant de l’Aisne. En 2001, le ministre des transports me nomme président du nouveau conseil national de la sécurité routière.

Je rejoins le Parti Socialiste en 1977. Je siège au comité directeur de 1985 à 1990 et occupe les fonctions de délégué national à l’aménagement du territoire de 1985 à 1987 et aux finances locales de 1987 à 1992. De 1990 à 1993, je suis membre de la commission nationale des conflits. De 1986 à 1990, je suis vice-président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains (FNESER)

 Passionné par les questions locales et internationales

Je commence ma carrière en 1967 au Service départemental d’aménagement rural de l’Aisne. A ce titre, je participe à l’élaboration de plusieurs schémas d’aménagement, comme celui de la Thiérarche et de la Vallée de l’Aisne. Je travaille également sur la protection sanitaire, sociale et judiciaire de la jeunesse dans l’Aisne, et le maintien des services publics en milieu rural.

Depuis 1978, j’assure un enseignement de finances locales à la faculté de droit et des sciences politiques de l’Université de Reims, ce qui m’a permis de rester proche des jeunes et de leurs préoccupations. Parallèlement, je préside la commission de décentralisation du IXeme Plan (1981-1984), siège au Comité des finances locales (1986-1989 et de 1998 à 2002), ainsi qu’au conseil d’administration du Crédit local de France devenu Dexia-crédit local (1984-1990).

Entre 1993 et 1997, je deviens consultant international et assure des missions d’études et de conseils sur l’administration locale auprès des gouvernements russes, arméniens et malgaches.

 

  La politique autrement

Elu de proximité et de la nation

Mes premiers mandats politiques sont locaux : en 1977, je deviens 1er adjoint au maire PS de Laon en charge des finances, de l’urbanisme et de la culture, après m’être présenté une première fois aux municipales de 1971. En mars 1983, je suis élu maire de laon jusqu’en 1989. Je siège ensuite comme conseiller municipal d’opposition jusqu’en 2001 ou je quitte le conseil municipal après 24 ans de présence pour respecter la loi sur le cumul des mandats votée par la gauche. En 1993, je suis élu conseiller général PS du canton de Laon-sud, réélu en 1994 puis en 2001. Conseiller régional de Picardie à partir de 1977, je deviens vice-président de cette collectivité en 1979, puis président de 1981 à 1983.

 































Je suis élu député socialiste de la 1ere circonscription de l’Aisne en mai 1988, mandat que je retrouve en 1997 et 2002. En 2005, je deviens vice-président de l’Assemblée nationale. 

 

Rapports conflictuels avec le PS

Aux élections législatives de 2007, la fédération socialiste de l'Aisne refuse de m'investir et soutient un vice-président du conseil général. Detenant mon mandat de la confiance populaire, je décide de me représenter, ce qui me vaut d'être exclu du parti socialiste dont le candidat est éliminé au 1er tour. Je suis réélu avec 56,3% des suffrages. Je siège à l'Assemblée comme apparenté au groupe parlementaire socialiste.

Aux élections législatives de 2012, rebelote ! Le parti socialiste soutient le même candidat qu'en 2007 alors que le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, appuie ma candidature.

Battu au 1er tour, le candidat officiel du parti socialiste décide de se maintenir au 2nd tour, au risque de favoriser la droite. En conséquence la direction nationale du parti socialiste lui retire son soutien "sans pour autant l'exclure". Au deuxième tour, je deviens le candidat du parti socialiste et je suis élu avec 42,2% des voix dans le cadre "d'une triangulaire". Je siège désormais au groupe parlementaire socialiste de l'Assemblée.

 


en mai 1993, l'élection de René Dosière au conseil général de l'Aisne est saluée par le dessinateur du journal  "Le Monde"

 

Mon bilan à la mairie de Laon

Sous mon impulsion dans les années 80, la ville de Laon a connu un développement remarqué entraînant la création de près d’un millier d’emplois : implantation de la grande surface Continent, de plusieurs PME sur la zone d’activité, de trois hôtels, création du centre pénitentiaire, renouveau du centre commercial du Plateau, mise en service du Poma et construction du Forum des trois gares…La municipalité que j’ai dirigée a lancé la construction et la rénovation d’un millier de logements, transformé la maison de retraite de l’hôpital en Résidence d’Estrées, créé un centre de la petite enfance, un office du tourisme, réhabilité l’ancien Hôtel-Dieu. Nous avons aussi relancé le jumelage Laon-Soltau et donné son essor à la MAL qui fait de Laon le centre culturel du département.
Un bilan qui tranche singulièrement avec les maigres réalisations des équipes de droite qui m'ont succédé depuis 1989.
le centre pénitentiaire

la première (et la seule)
rue piétonne de Laon

ldes logements à loyer modéré
ont remplacé les taudis
 place des Frères Le Nain

le Poma

 

 

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Published by René Dosière - dans Mon parcours
21 mars 2007 3 21 /03 /mars /2007 19:40
Les dossiers que j’ai fait avancer



Chaque parlementaire doit appartenir à l’une des six commissions permanentes de l’Assemblée où sont étudiés les projets de loi. Membre de la commission des lois Constitutionnelles et de l’administration de la République, je me suis investi dans un certain nombre de questions que j’ai particulièrement approfondies.

> Rendre la vie politique plus transparente
Membre de la commission d’enquête pour la transparence de la vie politique (1991), j’ai participé activement, par la suite, aux textes qui ont permis de moraliser le financement des campagnes politiques et la rémunération des élus départementaux et régionaux désormais soumise à l’impôt  suite à l’adoption d’un amendement en ce sens que j’avais déposé et défendu. J’ai également réussi à faire voter plusieurs dispositions concernant le contrôle exercé par les chambres régionales des comptes sur les dépenses publiques.
Consultez l'article paru dans "Le Monde", le 22 février 2007 (format PDF, 1 Mo)

> Défendre la laïcité
Bien qu’engagé très tôt dans le mouvement chrétien,j’ai toujours défendu,comme parlementaire une conception laïque de la République qui respecte les convictions de chacun.Lors des débats sur le voile à l’école,j’étais le porte-parole du groupe socialiste dans la mission d’information créée par le Président de l’Assemblée sur ce sujet. J’ai activement pris part aux débats parlementaires qui ont abouti à la loi interdisant le port des signes religieux dans les établissements scolaires.

> Une fiscalité locale plus juste
Depuis toujours, je mène une action déterminée pour remplacer la taxe d’habitation –impôt le plus injuste de notre système fiscal
par un impôt local proportionnel aux revenus. En 1990 mes efforts ont failli être couronnés de succès, puisque j’avais obtenu que la majorité socialiste de l’époque supprime la taxe d’habitation départementale et la remplace par une TDR : taxe départementale sur les revenus. Mais, au dernier moment, le gouvernement de P.Bérégovoy s’appuyant sur une majorité hétéroclite regroupant les conservateurs affichés (à droite) et les conservateurs cachés (au sein des socialistes) obtient l’annulation de la réforme et le rétablissement de la taxe d’habitation. Seul contre tous, je me suis opposé publiquement à ce reniement couvert par la direction d’alors du parti socialiste et j’ai démissionné de mes fonctions de délégué national aux finances locales.

> Réformer les impôts locaux
Rapporteur de la loi sur les évaluations cadastrales, j’ai obtenu que les impôts des HLM diminuent –à fiscalité constante
de 30% en modifiant le calcul de leur valeur locative, inchangé depuis 1970 et qui les pénalise lourdement. Mais le ministre du Budget du gouvernement de droite qui a suivi-Nicolas Sarkozy- a refusé de mettre cette disposition en application.

> Solidarité entre les communes
C’est dans le cadre d’une loi dont j’étais le rapporteur qu’a été instituée la solidarité  financière entre les communes riches et les communes pauvres. En outre, par amendement, j’ai obtenu que les plus petites communes perçoivent une dotation élu local (2552 euros en 2006) par un prélèvement sur les impôts payés par les élus départementaux et régionaux.

 
> Améliorer la décentralisation
J’ai participé à l’élaboration de plusieurs textes améliorant le fonctionnement de la décentralisation en tant que rapporteur de la loi sur le partage des DDE entre l’Etat et les départements (1992), et celle réformant le mode d’élection des conseillers régionaux ( 1998). En 1992, j’ai présidé la commission spéciale chargée d’étudier le texte de la loi sur l’administration territoriale de la république qui a permis le développement de l’intercommunalité. J’ai combattu les textes du gouvernement Raffarin qui transfèrent des charges aux collectivités sans financement équivalent, ce qui aboutit à l’augmentation des impôts locaux. 
    
> Renforcer la sécurité routière
Lutter contre le fléau des accidents de la circulation a toujours été l’une de mes préoccupations d’élu. C’est la raison pour laquelle j’ai accepté de présider le Conseil national de la sécurité routière. J’ai été rapporteur de la loi renforçant les mesures de sécurité votées en 1999 à l’initiative du gouvernement Jospin.

> Assurer la paix outre-mer
Les tragiques évènements des années 80 en Nouvelle Calédonie m’ont incité à tout faire pour favoriser la concorde entre les communautés dans ce territoire d’outre-mer. J’ai donc accepté d’être rapporteur des lois sur le statut de la Nouvelle Calédonie (1999) ainsi que de rédiger le rapport d’information sur la mise en application du statut du territoire (2001).
À la demande de F. Hollande, Premier secrétaire du parti socialiste, j’ai contribué activement –en 2004 et 2005– à la défaite, en Polynésie française, du "système Flosse" aux côtés des Polynésiens qui refusaient le clientélisme et la corruption. À la demande de J.L. Debré, Président de l’Assemblée nationale, j’ai dirigé une mission d’information sur l’immigration à Mayotte dont les conclusions ont été adoptées à l’unanimité de ses membres (PC,PS,UDF,UMP)
René Dosière, au nom du PS, soutient les polynésiens de Tarini en lutte contre le système Flosse

> Défendre les Français de l’étranger

Près de 2 millions de nos compatriotes vivent et travaillent à l’étranger (Afrique, Asie, Amériques, Europe…). À la demande du groupe socialiste, j’ai suivi les textes les concernant. Grâce à Internet, il est désormais facile d’entrer en contact avec leurs représentants.


> Contrôler les dépenses du ministère de l’Intérieur

Rapporteur des crédits du ministère de l’Intérieur pendant 5 ans, j’ai contribué à améliorer les conditions matérielles des personnels de préfecture et obtenu une meilleure répartition  de leurs effectifs sur le territoire. J’ai demandé la fin de la pratique consistant à "mettre au placard" des préfets que l’on continue à rémunérer (système de la mise «hors cadre»). 

> Faire la lumière sur le budget de l’Elysée
Dès 2001, je me suis penché sur les crédits de la Présidence de la République. Jusqu’alors, les parlementaires votaient les yeux fermés le budget réclamé par l’Elysée. A force de questions écrites posées aux gouvernements successifs, j’ai pu mettre en évidence la sous évaluation du budget officiel qui correspond de très loin à la réalité. Mon travail a porté ses fruits puisque l’Elysée publie désormais des chiffres moins fantaisistes même s’ils restent incomplets.

> Mieux définir les délits non intentionnels
En 2000, j’ai été rapporteur à l’Assemblée du projet de loi réformant les délits non intentionnels afin d’éviter les dérives jurisprudentielles antérieures. Faute d’une définition trop large, nombre d’élus, d’enseignants ou de responsables associatifs s’étaient retrouvés condamnés pour des accidents dont ils n’étaient pas responsables.
Avec ses collègues socialistes présents, René Dosière se prononce en faveur du PACS














Le Palais Bourbon ouvert aux habitants de l'Aisne


J’ai toujours veillé à ce que les électeurs de l’Aisne puissent venir au Palais Bourbon constater comment travaillent leurs élus. C’est la raison pour laquelle j’ai organisé chaque année plusieurs visites de l’Assemblée à l’intention de petits groupes.
 
J’ai également favorisé la venue de classes de scolaires afin que les jeunes se familiarisent avec le fonctionnement de notre démocratie.
Chaque année, dans le cadre du Parlement des enfants, je présente le rôle du député dans une classe d’école primaire dont les élèves ont rédigé une proposition de loi et élu un(e) député(e) Junior que j’accompagne lors de la réunion du « Parlement des enfants ».




Mon activité au cours de ce mandat (2002-2007)


> présidence de 65 séances pendant 211 h. et 40 mn
> 195 questions écrites posées aux ministres
> 12 questions orales au gouvernement
> 115 propositions de lois déposées ou cosignées
> 1 rapport rédigé
> 196 amendements défendus
> 465 prises de parole en séance publique

(voir sur le site de l'assemblée nationale)



Mes différentes fonctions

Depuis ma 1ere élection, j’ai occupé plusieurs responsabilités au sein de l’Assemblée nationale : secrétaire (de 1999 à 2002) et vice-président (depuis 2005) tout en siégeant sans discontinuer à la commission des lois. Au titre de vice-président, je préside la délégation du Bureau de l’Assemblée chargé d’examiner la recevabilité des propositions de lois. J’ai également fait partie de la commission d’enquête sur le fonctionnement des tribunaux de commerce (1998) et de la commission spéciale sur la réforme des lois de finances (en 2001).
Je suis membre titulaire du comité directeur du fonds d’investissement pour le développement économique et social des territoires d’outre-mer.
J’appartiens à plusieurs groupes d’études (Français de l’étranger, Route et sécurité routière, modernisation de la vie politique française) et d’amitié (avec la Guinée, la Grèce, l’Arménie, le Canada, le Québec, Chypre, le Vatican).



Hommage du Président de l'Assemblée Nationale

Courrier de  Jean-Louis Debré à René Dosière


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Published by René Dosière - dans Le travail à l'assemblée
21 mars 2007 3 21 /03 /mars /2007 10:12
C’est le ministre des Affaires étrangères qui conduit la diplomatie de notre pays, conformément aux orientations  définies par le Président de la République. Toutefois, l’Assemblée nationale ne peut pas ignorer ce qui se passe dans le monde.
À cet effet, il existe des groupes d’amitié entre l’Assemblée nationale et les Parlements étrangers dont les relations permettent à leurs membres de regarder au-delà de nos frontières. Dans ce cadre, j’entretiens des rapports réguliers avec la Grèce et avec le Québec (où j’ai enseigné deux ans dans une école normale en 1968-70).
 

Avec Al Gore, ex vice-président des Etats-Unis d'Amérique, porte-parole de la lutte contre le réchauffement climatique

Réunion de travail Franco-Québécoise



Vice-président de l’Assemblée, je participe aux rencontres avec les personnalités -Chefs d’Etat ou de gouvernement- invitées par le Président de l’Assemblée. Le bureau de l’Assemblée m’a envoyé observer la régularité des élections dans certains pays africains (Mozambique, Tanzanie).
   
Avec Luis Zapatero, 1er Ministre  Espagnol

Membre de la délégation française à l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, je préside la sous-commission de l’éducation ce cette assemblée qui regroupe des délégations de tous les pays francophones. La Francophonie a eu un rôle majeur, au sein de l’UNESCO, pour faire adopter, malgré l’opposition des Etats-Unis, la convention qui protège la diversité culturelle des pays.
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Published by René Dosière - dans Le travail à l'assemblée